Mylène écrit (http://mylene-ecrit.blogspot.fr)
 ( MàJ: 02/01/2014 )


Ceci est un Blog par Mylène (MyLzz59)

Le Basket [Ch.09]

« J’ignorais qu’elle pouvait lever les jambes aussi haut, pour dénouer ses godillots. Ils filèrent sagement dans un coin de la pièce. J’étais attentive, tant impressionnée par sa capacité technique que sous le charme. Bien qu’elle s’appliquait sûrement, elle ne donnait pas l’impression de forcer, d’être en difficulté. Elle leva de nouveau les jambes, à l’aise dans ce pantalon fort large, et l’une après l’autre roula ses chaussettes montantes comme s’il s’eût agi de bas. Je me surpris à saliver abondamment. Elle joua avec son épaisse ceinture et dut dégrafer son pantalon sans que je le vis, puis se figea. Quelques instants après, le pantalon chut soudainement. Là encore je n’avais pas repéré son mouvement. Elle en sortit une cheville, de l’autre fit voler le lourd pantalon, puis revint à son t-shirt, la dernière couche qu’elle avait gardée. Elle se tourna de nouveau, tortillant du popotin tout en s’effeuillant. Dans les règles de l’art, elle me refit face, bras croisés. Quelle Artiste !!

Elle s’approcha de moi d’une démarche féline, d’abord cachant ses seins de ses bras croisés, puis d’un petit mouvement les fit pigeonner, et j’en aperçus le haut. Elle écarta les bras, cachant cette fois ses seins dans ses mains. Coquine, elle m’en dévoila un en souriant, pour le cacher aussitôt, et recommença alternativement, jusqu’à me présenter sa poitrine entièrement, bras ouverts. Une poitrine de taille moyenne, enfin de ce que j’en connaissais, mais des seins magnifiques, ronds, équilibrés, avec en leur centre de jolis mamelons, les aréoles bien proportionnés. Mais c’était un crime de cacher ça sous ces couches de vêtements informes, me dis-je.. Voyant que je ..matais, c’était le mot, ses attributs mammaires, elle décida de faire le tour de la pièce en sautillant, mains derrière le dos, en bombant le torse, faisant remuer sa paire de ..centres d’intérêt pour mon seul plaisir. Et je vous prie de croire que j’appréciais le spectacle !

Elle s’en retourna soudain, se plaça de dos, jambes légèrement écartées, et plaqua l’une après l’autre ses mains sur ses fesses. Je m’attendais à ce qu’elle s’attaquât à sa culotte, vu qu’il ne lui restait plus qu’elle, mais non. Elle commença à se pencher vers l’avant, jambes toujours tendues, les mains glissant le long de ses jambes. Elle descendit, descendit encore, encore, encore.. Mais elle est en caoutchouc, cette fille, c’est impressionnant ! Elle venait de se plier en deux, la tête entre les chevilles ! Elle titilla le bout de ses seins, puis remonta ses doigts vers sa culotte. Doucement, elle l’écarta quelque peu, mais ne montra pas grand chose. Gracieusement, elle se tourna, enfin, avec toute la grâce qu’une telle position permette, puis remonta.. J’applaudis la performance, elle me sourit.

Elle voulut reprendre, mais je me sentis gênée. Je me levai, face à elle, lui pris les mains, et approchai mon visage du sien. Elle inclina la tête, nous unîmes de nouveau nos lèvres.

Je sentis un frôlement de tissu contre mes jambes. Elle m’avait discrètement lâché les mains, et déboutonné ma jupe, laquelle venait de tomber sur mes pieds..

Je fus obligée de me séparer de ses lèvres le temps qu’elle m’ôtât mon top, me plaçant dans la même tenue qu’elle : en petite culotte.

« Ca va ? », me demanda-t-elle. Je lui fis oui de la tête. Elle se serra contre moi, m’enlaça, m’embrassa dans le cou. Le contact de sa peau contre la mienne, de ses seins contre ma poitrine, ses tétons.. Et ses baisers dans mon cou.. Je sentis mes jambes trembler. Jamais je n’avais ressenti une chose pareille auparavant ! Et c’est dans les bras d’une fille que j’allais découvrir ça ! J’étais là, presque nue, serrée contre elle, et vu la tournure des choses il était quasiment certain que nous allions le faire. Ma première fois, et ça allait être avec une fille, tout comme les fois suivantes. Pour l’instant elle me soutenait car mes jambes ne me portaient plus, et mes jambes ne me portaient plus parce qu’elle était en train de m’achever, là.

Elle glissa ses mains sous ma culotte, ses paumes contre mes fesses m’électrisaient. Héé ! Mais elle me baisse.. Trop tard, je l’avais sur les chevilles. Bah, autant m’en débarrasser totalement.. Cependant je me vengeai, et lui fis de même. « Bravo », me dit-elle. « Tu l’as fait. »

« Si tu me faisais visiter ta tanière ? » « Dans cette tenue ? » « Pourquoi ? C’est pas chauffé, finalement ? » Nous fîmes le tour, il fut rapide. Elle s’arrêta devant la fenêtre de la chambre, contemplant les lumières de la nuit. « On pourrait te voir », dis-je. « Nous voir. » « Oui, nous voir. » « Et alors ? », fit-elle, penchant sa tête contre mon épaule, « Que verraient-ils ? Qu’en ce moment je suis heureuse. » « Qu’en ce moment nous sommes heureuses », rectifiai-je.
»

-MyLzz59-

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