« Je dénoue la ceinture du peignoir, qui, tel les rideaux d'un théâtre, s'ouvre en dévoilant toute la scène de ma nudité. Il s'interrompt soudain, surpris, ou alors évalue-t-il la marchandise… et reprend aussitôt. L'affaire semble en passe d'être conclue, je l'intéresse. Je passe mes bras autour de son cou, et verrouille ma position en serrant mes poignets. Il m'attrape par les fesses, et me soulève sans difficulté, en se redressant. Ses puissantes mains recouvrent en grande partie mes lobes. J'ai les jambes autour de son torse. Je me fais l'effet d'une poupée, ainsi sur lui. J'ignore si cela est intentionnel de sa part, mais il m'écartèle l'entrejambe. Je suis offerte. Et excitée ! Mes mains ont lâché mes poignets, et caressent sa nuque, son cou, ses cheveux. Je déborde largement de sa bouche. Sans doute lui coulerais-je déjà sur les doigts, que cela ne m'étonnerait pas… Je me sens capable de donner des leçons à une chienne en rut !Je trouve qu'il s'attarde bien longtemps sur notre baiser. Fort longtemps alors que la plupart de mes partenaires précédents avaient déjà abandonné les préliminaires pour passer à l'action proprement dite… Ah, un doigt s'aventure. Il caresse mes lèvres, mon bouton. Bientôt d'autres doigts suivent. Un régal ! Il n'y a pas qu'en mécanique automobile qu'il s'y connaît, le géant ! Je vrombis déjà au quart de tour, mon bassin s'agite de soubresauts. Je miaule. On ne s'ennuie pas, à la cambrousse !
Il… Il me lâche une fesse ?? Je referme aussitôt mon attache autour de son cou. Je suis suspendue à lui, je ne me tiens qu'avec mes bras, et mes jambes, resserrées autour de lui. Et lui, il m'introduit tout bonnement deux [au jugé] doigts, commençant un lent mais ferme va-et-vient. J'en suis au registre des petits cris, je me concentre pour garder la pose, il ne me tient plus. C'est jouissif, ça, dîtes donc ! J'ai dû lui inonder les doigts, tant ce qu'il est en train de me faire me remonte en bouffées le long de ma colonne vertébrale, pour exploser en mon cerveau, avant de redescendre au vagin. Je…
Dans mes petits cris, j'arrive à articuler des "je la veux". Je finis par me détacher de lui, pour le pousser sur son lit, et l'enjamber. "Je la veux!" Oui, je veux maintenant prolonger ce moment intense en allant m'empaler sur sa hampe. Je veux qu'il me la mette profond, et me ramone sans retenue. Je veux qu'il me déchire et m'explose, qu'il me mette en vrac, au propre comme au figuré, avant de me recoller les morceaux en faisant jaillir son geyser en moi. Au tréfonds de moi. Je veux…
Tout en cogitant, à califourchon sur son ventre, je tâte frénétiquement d'une main derrière moi, à la recherche de l'objet de mes convoitises, afin de le libérer de sa cachette. Mais euh ? Comment ça, je trouve pas ? Il bande même pas ? Après tout ça ? Je ne trouve pas l'endroit. Mais où est-ce qu'il me le planque, son braquemart ?? Tu vas me donner ça, que j'en fasse bon usage ? A tâtonner en vain, je me décide à ouvrir la fermeture de sa combinaison, à investiguer plus en profondeur… Je rentre ma main, et atteins une culotte en coton. Je la contourne, et… »

Hercule [Ch.07]

2 commentaires:
hOula! Ah oui! C'est chaud!
Nous pouvons apprécier dans ce chapitre, l étendue du vocabulaire très imagé de la citadine... :D
Ben alors où qui l'a mis Hercule!? ;)
Encore un extra-terrestre?
Ne nous reste plus qu'à attendre dimanche prochain..
:*
Chaud bouillant même !!!
Qu'est-ce qu'elle nous a réservé comme surprise Myllz ???
D'ailleurs, bonnes vacances à toi et à taz aussi biensur.
Bizzz
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