Mylène écrit (http://mylene-ecrit.blogspot.fr)
 ( MàJ: 02/01/2014 )


Ceci est un Blog par Mylène (MyLzz59)

Beaux Jours [Ch.01]

<MESSAGE ORIGINEL>

Depuis la mi-janvier environ, je me suis embarquée dans une nouvelle histoire, que j'imaginais longue, mais sûrement pas à ce point.. vous disais-je en vous proposant début avril une première histoire courte, Boules..

Je "récidive" ce jour, ou plutôt non, car l'histoire courte que je vous offre aujourd'hui ..traîne dans les coulisses de ce blog depuis presque un mois :(

« Les beaux jours reviennent, vous l'aurez sans doute constaté, et avec eux se manifeste chez moi une certaine fébrilité. Oh, ce n'est pas que je déteste l'hiver, loin de là ! Mais un vrai hiver, de ceux où il neige à Noël et non de ceux où l'on patauge dans la gadoue sous des pluies battantes, restes d'automnes pourrissants qui refusent de céder leur place leur heure venue… Côté hivers je suis même très clichés. J'adore ces étendues blanches de neige immaculée, moi qui très tôt ne l'ai plus été. J'adore ce froid sec qui vous caresse plus qu'il ne mord, ce soleil gelé qui rebondit un peu partout et parvient même à vous bronzer les parties que vous vous hasardez à lui offrir si vous n'êtes pas trop frileuse… J'adore aussi cette sensation assez irréelle, à la nuit tombée, lorsque le sol reflète la moindre lueur et maintient ainsi un semblant de jour sous un ciel étoilé… J'adore aussi regarder tomber les flocons, le nez collé à la vitre, avec les yeux pétillants de la petite fille qui sommeille au fond de moi. J'adore surtout les soirées au coin du feu, devant les crépitements d'une bûche dans la cheminée d'un chalet de moyenne montagne, où les bulles du liquide festif et alcoolisé de mon verre se confondent avec la palette de jaunes, rouges, et cuivres que le feu fait danser en reflets sur la croupe nue d'une chérie de passage, allongée sur le futon, nettement plus confortable qu'une peau de bête à même le sol, vous en conviendrez… Mes yeux pétillent aussi mais ce n'est plus l'enfant qui regarde l'animation sur les courbes, le nez dans le verre et l'esprit gambadeur… Mais je m'égare, je vous narrerai cela une autre fois !

Les beaux jours reviennent, l'été tel les grands artistes effectue là ses premiers réglages, ses premiers essais, avant son show qui ne débutera pas avant un mois ou deux, tant de semaines encore à patienter pour celles qui déjà sont lassées d'un hiver qui n'en finit plus, d'un printemps frileux et hésitant qui oscille entre timides rayons voilés et bruines insolentes… Aussi ces prémices qui s'annoncent sont-ils prétextes à se dévêtir, à enfin offrir aux premiers ensoleillements qui une paire de gambettes un peu trop blanches, qui un décolleté, un pull dos-nu sous lequel un soutien-gorge aurait été une faute de goût, ou à la rigueur déjà le haut d'un bikini et son odieusement tentante cocarde entre les omoplates… Lorsque les beaux jours reviennent, je profite de la moindre occasion pour mettre le nez dehors, la moindre pause à mon travail alors que je ne fume pas, la première terrasse qui me tend les bras le midi pendant le repas. Equipée de mon accessoire fétiche, une paire de lunettes aux verres miroirs à la forme aussi célèbre que copiée, je …mate éhontément ! Oh, je me fais du bien en ne faisant de mal à personne, je ne vois rien de pervers là-dedans, je me contente de passer de bons moments juste à admirer ce qui s'expose furtivement à mon regard. Je ne vole que des instants de mon paysage. Je ne suis pas comme certains gros lourdauds qui se permettent d'interpréter une mini-jupe ou une épaule découverte comme une autorisation à venir empoisonner de leur insistance la propriétaire. Ceux-là je les rembarre sans ménagement, déjà que les hommes même bien élevés ce n'est pas mon truc, alors eux encore moins !

Le pompon avait été l'an dernier, un jour où il faisait particulièrement chaud, j'avais déboutonné mon chemisier et noué les pans sous mes seins, laissant mon nombril à l'air libre. J'en étais tranquillement au dessert quand ce type, fringué de marques tape à l'œil de haut en bas, montre, lunettes et accessoires qui brillent, s'est carrément installé à ma table sans que je l'y invite, probablement persuadé que son accoutrement allait m'impressionner et commencer le travail de séduction à sa place. Quel crétin… Je décidai de l'ignorer mais cela ne le démonta pas. Il se lança dans une tirade emplie de certitudes que j'allais finir dans ses b ras ou dans son lit pendant que je finissais mon dessert, jusqu'au moment où il a dit: "Toi et moi". Je me suis levée d'un bond, et j'ai crié dans sa direction: "Comment ça, trente euros pour vous faire une pipe ? Mais vous prenez toutes les femmes pour des putes, ou quoi ?" Il y eut un murmure parmi les convives, et le type qui ne s'attendait pas à cela ne moufetait plus. Je me retournai alors vers l'assistance: "Et parmi vous, mesdames, est-ce que l'une d'entre vous serait intéressée par sa proposition ? Qui veut lui faire une pipe pour trente euros ? Personne ?" Nouveau murmure d'indignation, je revins vers le type devenu penaud: "Vous voyez bien qu'il n'y a pas de pute ici, alors allez voir ailleurs si vous trouvez à vous faire sucer, espèce d'obsédé !" Le type ne demanda pas son reste, il fila sous les huées. Quant à moi, je ne m'attardai pas non plus, je payai mon repas et repris le chemin de mon travail, satisfaite de mon petit effet…


Arrive un "banc" de jeunettes, probablement issues d'un lycée proche. Je suis toujours impressionnée par ce qu'elles osent, envahies par leur féminité toute neuve qu'elles ne maîtrisent pas encore toutes. Et entre deux fautes de goût bien pardonnables à leur âge je note ci et là des idées de vêtements, ou d'associations de formes ou de matières. J'essaie de deviner qui parmi elles se découvrira une attirance plus profonde pour ses congénères que la simple envie d'essayer avant d'avoir atteint l'âge de devenir "sérieuse"… C'est à cet âge que la vérité m'est apparue telle une évidence. Une grande blonde un peu comme celle-ci, en apparence si sûre d'elle que tous les jeunes mâles lui tournaient autour. De mauvaises langues faisaient courir sur elle les pires rumeurs, la faisant passer pour la garce de l'école, mais en fait de langue la mienne fut la première à la goûter. En public elle jouait de cette triste réputation mais dans l'intimité elle en souffrait énormément. Nous nous sommes parlé presque par hasard, je lui ai avoué ce que je ressentais pour elle sans vraiment le comprendre, je me souviendrai toujours de sa réponse: "Au point où j'en suis…" J'ai dit: "Je suis désolée", et elle: "Tu n'y es pour rien, va…" Nous avons ensuite beaucoup échangé de nos attentes et aspirations, nous nous sommes trouvé tant de points communs. Et alors que je m'apprêtais à repartir, contre toute attente, elle s'est jetée sur ma bouche: "Ca durera le temps que ça durera, mais pour le moment c'est ce que je veux". Notre relation, la première de chacune, ne dura effectivement pas, minée qu'elle fut à cause de notre peur commune d'être découvertes et des inutiles pirouettes que nous faisions pour garder notre secret. Cependant elle fut intense et constellée de moments si merveilleux que je re-signerais si j'avais à le revivre, sauf que forte de mon expérience actuelle je saurais que modifier ! J'espère qu'elle est heureuse, avec le garçon qui me l'a prise… Fin de la séquence nostalgie, j'ai depuis vécu d'autres belles aventures, ainsi va la vie.

Perdue dans mes pensées je vois défiler dans ma tête tant de belles amours passées qui se superposent aux styles vestimentaires des femmes que mes yeux dissimulés derrière mes verres miroirs suivent tandis qu’elles déambulent dans cette rue… Je finis par capter une voix qui s’adresse à moi : "Mademoiselle ! Eh oh ! On vous demande par ici !" Je sursaute, comme une enfant prise la main dans le pot de douceurs. Je marmonne sans trop regarder la personne qui m'interpelle: "Oui, euh… Excusez-moi, j'étais ailleurs…" La serveuse rit: "Ne vous excusez pas, je comprends fort bien que vous soyez perturbée par toutes ces jolies filles…" Hein ? Mais comment ? Et pourquoi ose-t-elle ? Je… Je tourne la tête, inquiète d'avoir été ainsi repérée. Qui est celle qui m'a… ?


J'en perds littéralement ma mâchoire: à rendre transparente la plus Shane des Shanes ! Je fonds, je me liquéfie sur place ! Je la veux pour mon Noël ! Non, même pas, je la veux là maintenant tout de suite, elle me demande ce que je veux comme dessert, et je m'entends lui répondre: "Toi". Je suis rouge de honte, comment ai-je pu dire ça ? En même temps, si elle dit oui, je me sens capable de la consommer sur place ! "Que d'empressement, mademoiselle", rétorque-t-elle, "va falloir que tu attendes la fin de mon service, pour ça…" Je me pince discrètement: non ce n'est pas possible, je suis dans mon rêve, je fantasme éveillée, cette fille n'existe pas ! Une si belle alchimie de féminité à l'intérieur d'un classique de l'habillement masculin revisité, une si parfaite androgynie servie par sa plastique somme toute irréprochable à ce que je puis en juger, une démonstration de classieuse butchitude, j'en mouille très sûrement d'émoi… Si le coup de foudre existe, alors c'est cela ! Elle referme délicatement ma bouche et dans le prolongement de son geste caresse ma joue. Je suis une poupée docile et offerte à ses doigts. Cette idée ne me permet en rien de me calmer…

Elle relève mes lunettes dans mes cheveux et plonge dans mon regard comme je suis plongée dans le sien. Ma respiration est lente mais profonde, suffira-t-elle vu le rythme de mon cœur en cet instant ? Je ressens mes battements dans mon cou, derrière mes oreilles, et jusque dans mes tempes.

Elle rit de nouveau. Je redescends sur terre, inquiète. "Tu es incroyable", me sort-elle. "Pourquoi ?", réponds-je bêtement, du moins le perçois-je ainsi. J'ai peur d'avoir tout gâché, d'avoir manqué le moment où j'aurais dû reprendre la main, me reprendre en main, me montrer à la hauteur de moi-même. Cependant, est-elle seulement réelle, ou suis-je toujours perdue dans quelque fantasme éveillé ?

Elle… elle recule ? Elle recule alors qu'au contraire j'aurais voulu qu'elle approche, qu'elle s'approche, qu'elle colle ses lèvres aux miennes et de sa langue dans ma bouche finisse de m'achever sur place ? Mais… ??

"Je t'amène une coupe de glace, ça va te faire du bien…" Elle lit en moi, ou quoi ? Oui, un truc bien froid, calmer l'incendie qu'elle a allumé en moi, avant que je ne sois plus rien, par sa faute. Elle est repartie, et déjà je me demande si je dois attendre son retour, ou appeler la vraie serveuse pour réellement commander mon dessert. Je ne suis plus sûre de rien. J'ai pourtant les lunettes dans les cheveux et non sur le nez, et je ne me revois pas les avoir remontées…

Mon fantasme revient, dissimulée derrière une indécente coupe glacée recouverte de chantilly sur laquelle s'écoulent des rivières de chocolat saupoudrées de …paillettes qui brillent au soleil !? J'hallucine… "Le dessert c'est cadeau", m'annonce-t-elle en me tendant la note pliée en deux. J'approche la main pour la saisir, et je sursaute quand ses doigts se referment sur les miens, nous deux juste séparées par un bout de papier. J'en tremble tant c'est fort. Je ne suis guère pressée que ce contact se dénoue, et manifestement elle non plus. Je fixe nos doigts unis, incapable de monter mon regard vers son visage. "Mange avant que ça fonde", me conseille-t-elle malicieusement, "et si tu t'en mets partout je viendrai nettoyer". Il faudrait être particulièrement gourde pour ne pas saisir l'allusion !

Elle s'en retourne, hélée par quelque autre tablée, et je regarde ce que je suis censée engloutir. Je m'apprête à saisir la cuillère, je réalise que j'ai la note dans la main. Je la déplie machinalement. Il y est effectivement écrit: "Dessert: offert". Mais autre chose attire mon attention, une inscription au dos, que je relis plusieurs fois pour m'assurer de l'avoir comprise: "19h30". Ce ne peut être autre chose que l'heure de la fin de son service, mon fantasme a décidé de me donner un rendez-vous, je me sens la plus chanceuse sur terre ! Pas d'autre indication, j'en déduis que cela signifie: "Ce soir ici". Oh oui j'y serai, et plutôt deux fois qu'une ! Je ne vais sûrement pas laisser passer ça ! Je range précieusement la note et m'attaque goulûment à cette délicieuse glace qu'à mon grand étonnement je parviens à terminer. Puis je me dirige vers le comptoir, et tout en réglant ma note je tente d'en savoir plus sur cette fille. En fait je n'apprendrai rien, même pas son vrai prénom, car elle n'est connue que par son surnom, l'aurais-je parié: Shane. Je jette un dernier coup d'œil en partant mais ne l'aperçois pas, elle a dû aller en cuisine. Tant pis, je reprends la direction de mon travail, lunettes sur le nez…


Shane a occupé mon esprit une bonne partie de l'après-midi. De peur de ne pouvoir partir à l'heure à mon rendez-vous, alors que pourtant je suis censée terminer suffisamment plus tôt, je me suis montrée particulièrement performante, j'ai expédié en un temps record une quantité non négligeable de dossiers que j'avais en souffrance. On devrait tomber amoureuse tous les jours, ce serait impeccable pour la rentabilité, m'amusé-je seule. Shane… Ou alors ai-je ressenti le besoin de consommer ce trop-plein de fébrilité qu'elle a insufflé en moi. J'aurai au moins pris de l'avance, au pire. D'autant que 19h30 c'est plutôt tard, ça me laisse largement le temps d'avancer.

Dix-huit heures cinquante, nous ne sommes plus que deux dans le bureau. J'achève un dernier dossier, et commence à m'impatienter. Je range mes documents consciencieusement, éteins mon ordinateur, et file aux toilettes. J'attrape une feuille de l'enrouleur, et l'humidifie, elle me servira à faire un brin de nettoyage après mon pipi, on ne sait jamais… Pour la même raison, après m'être lavé les mains, je me rince copieusement la bouche. Me voilà fin prête. Je regagne mon bureau, saisis mes affaires au vol, et lance un "Bye" sans attendre de réponse, et encore moins que la collègue ne cherche à partir en même temps que moi.

Je suis en avance au restaurant. Je décide de m'asseoir dans un coin de la terrasse. Je me croyais dissimulée dans mon coin, pourtant bien vite débarque un serveur. Je ne l'ai jamais vu, il ne doit pas y travailler le midi. C'est moi, ou il ondule de la fesse ? "Vous désirez consommer quelque chose ?", me demande-t-il avec des intonations qui finissent de me convaincre de ce que je supposais. "Shane", dis-je. Je réalise à son sourire discret de ce que je viens de lui avouer. Honteuse et sûrement toute rouge je tente de reformuler: "Oui, enfin non, c'est pas… Je me suis mal exprimée, je… Je voulais dire que j'attends Shane, votre collègue, qui devrait terminer son service d'ici peu…" Je m'englue dans ma propre toile. Il a très bien compris, et cela l'amuse: "Je n'ai rien compris d'autre que ce qu'il y avait à comprendre, c'est évident ! Elle doit être en train de se préparer, je vais la prévenir que son rendez-vous est arrivé…" Bon, je dois me faire une raison, il n'est pas dupe. Il s’éclipse lui aussi, tortillant du popotin entre les tables, et je fais mon possible pour retrouver figure humaine. Un rapide coup d’œil à ma montre, tout va bien.

Je poireaute depuis plusieurs minutes déjà, et toujours pas de Shane. Je réprime une légère vague de tristesse qui n’a pas lieu d’être. Je m’occupe en m’acharnant sur l’anneau intérieur de ma bague de pouce, celle "qui tourne"…

"Il paraît que tu veux me consommer ?" Je sursaute. Je ne l’ai pas entendue arriver, elle se tient debout juste à côté de moi. Elle… elle a osé un gilet de costume sans rien dessous, mon cœur s’affole. Elle ne peut pas ne pas s’en apercevoir… Je me lève, elle en profite pour passer sa main derrière ma nuque et, me plaquant contre son visage, me fourre sa langue sans sommation. Ca y est, elle m’a mise en marche, je réplique de mon mieux, poussant de petits soupirs. J’ignore le programme qu’elle m’a organisé pour ce soir, mais je pressens déjà qu’il me sera inoubliable.

Nous nous détachons, elle me prend par la taille, et nous nous mettons en route…
»

-MyLzz59-

5 commentaires:

Bip a dit…

La suite !! la suite !!
J'ai adoré : " On devrait tomber amoureuse tous les jours, ce serait impeccable pour la rentabilité ".

Stéphane a dit…

ah vi! ça fait toujours du bien, une nouvelle histoire de mylène! :-)

Bon, j ai eu un problème avec Shane (même si je me doutais un peu! ;-) ), je ne savais pas à qui ca pouvait bien renvoyer... :p
ouais, je sais, ma culture est ce qu elle est!Bon de toutes façons j ai trouvé des tofs sur le net, et j ai compris...
( au fait, les lunettes mentionnés ont eté conçues tout d abord pour les pilotes d avion! pas pour mater!)
Bisous!

MyLzz59 a dit…

- Bonjour Bip, (re- ?)bienvenue ici :)

Heureuse que tu aies apprécié cette petite histoire ! Je suppose que tu l'as déjà vu, mais il y en a déjà un certain nombre d'autres, dont de bien plus longues (Le Basket,
Sable, Hercule, ou Mirana) classées dans la Rubrique °départs histoires..

..car il n'y aura pas de suite à "Beaux Jours", du moins pas par moi (appel du pied à peine dissimulé à qui l'entendra :P)

- Avé Taz :*

Comment ça, tu ne savais pas qui est Shane McCutcheon ?? :D Pas grave, tu me recopieras 10 fois "Je promets de regarder assidument la rediffusion de The L Word tous les samedi vers 23h sur Virgin17" ;)

Quant aux lunettes, ben.. On va dire que c'est une application civile insoupçonnée :D

Bisous :*
-MyLzz59-

Bip a dit…

Merci pour cette précision, je lirai tout ça, mais là je sors du boulot et j'avoue qu'après une nuit ça va être compliqué.
Je suis un peu déçue qu'il n'y ait pas de suite, mais bon, je ne t'en tiendrai pas rigueur ^^.
Et pour être honnête, j'ai pas tout compris de ton appel du pied, mais je pense que c'était fait exprès non ?

MyLzz59 a dit…

Tu bosses de nuit, Bip ? C'est pas courant ! Quel métier exerces-tu ?

"Beaux Jours" est une histoire volontairement courte, contrairement aux précédentes, car comme je l'ai précisé dans un com' précédent je me suis lancée depuis mi-janvier dans l'écriture d'une histoire bien plus longue que tout ce que j'ai publié ici.. et qui n'est pas du tout finie :P

Aussi, ces p'tites histoires c'est pour "meubler" ;)

Quant à l'appel du pied, c'est que sur ce blog (contrairement à d'autres) chacun(e) est non seulement autorisé(e) à donner son avis via les coms, mais peut aussi participer à l'écriture, par exemple en proposant une suite à cette histoire :D

A+,
-MyLzz59-